Identification | ^Haut^ |
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Préfixe musée | LUG |
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N° d'inventaire | 2000.0.1038 |
Type de bien | Collection patrimoniale |
Statut juridique | propriété de l'Etat |
Situation | Exposé |
Désignation | ^Haut^ |
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Discipline | Archéologie |
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Domaine musée | revêtement de mur |
Domaine SMF | archéologie , gallo-romain , vie domestique |
Dénomination | peinture murale |
Titre | Enduit peint à Hypnos |
Création-Exécution | ^Haut^ |
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Date de création-exécution |
Entre 1er siècle et 2e siècle |
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Découverte | ^Haut^ |
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Lieu de découverte - Site de fouille | Europe / France / Auvergne-Rhône-Alpes / Rhône / Lyon / Lyon 5e / Hauts de Saint-Just-Capucins - Haut-Empire - L'an 31 avant J.-C. - L'an 301 |
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Découvreur - Inventeur - Collecteur | DESBAT, Armand |
Précisions sur la découverte | Peinture conservée en place dans l'une des nombreuses pièces d'une importante construction à vocation résidentielle (P5), probablement une auberge implantée près d'une porte de Lugdunum |
Méthode de découverte-collecte | fouille de sauvetage |
Date de découverte | Entre 1973 et 1974 |
Description | ^Haut^ |
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Matières et techniques |
mortier (peinture à fresque) |
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Dimensions | extérieures : H. 2 m ; L. 2,64 m |
Inscription(s) |
néant
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Sujet |
Génie ailé Précisions sur le sujet : Cette peinture a la particularité de conserver la transition entre deux murs. Elle représente un décor à fond blanc. En zone inférieure, une plinthe est occupée par des touffes de feuillage. Au-dessus, un large panneau blanc est délimité par une tige rigide avec pampres de vigne qui consiste en une réduction d’un candélabre. Madame Barbet rappelle que les candélabres se déstructurent puis sont abandonnés dans la deuxième moitié du IIème s. ap. J.-C., remplacés par une simple tige végétale, plus ou moins richement garnie. Au centre de ce décor mural, sous des guirlandes, un personnage ailé, nu, bronzé, un manteau attaché aux épaules, brandit une corne d’abondance, selon B. Helly et un bouquet de feuilles aux longues tiges ou une torche et des pavots selon Mme Barbet. Il s'agit peut-être Hypnos, le dieu du sommeil selon R. Turcan. Selon B. Helly cette peinture décorait les parois d’une chambre (cubiculum). Ces hypothèses sont restituées par les publications de Madame Barbet. Le décor à fond blanc à composition plate et aux bordures marron est très en vogue en Gaule au IIe s. ap. J.-C.. Il est posé sur une première peinture piquetée (survivance de vieux poncifs). Par comparaison avec la peinture de Saint-Jean-de-Garguier, il n'y aurait pas de zone supérieure. |
Documentation | ^Haut^ |
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Liens documentaires |
Monographie - La peinture murale en Gaule romaine - Barbet , Alix , 1940-.... - 2008 - 978-2-7084-0757-2
p. 219 BARBET A. et DUGAST J., « Peintures gallo-romaines dans les collections publiques françaises », Soissons, Bulletin de liaison du centre d’étude des peintures murales romaines, n°8, CEPMR, 1986, ISSN 0249-6038p.52 Catalogue de musée - Le Musée gallo-romain de Lyon - Savay-Guerraz , Hugues , 1954-.... - 2013 - 978-2-84975-322-4 p.99 Monographie - L'empire de la couleur - de Pompéi au sud des Gaules - 2014 - 978-2-909454-38-2 p.183 Ouvrage de référence - Atlas topographique de Lugdunum. Volume I - Lyon-Fourvière - 2018 - 978-2-915544-41-1 p.451 |
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Saisi par ATHMUSSAVAY (09/04/2008)
Modifié par adminmusee (25/01/2023)
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